LA SCHAPELET DE LA MISERICORDE DIVINE


Le vendredi 13 novembre 1936, Jésus inspire à Soeur Faustine le texte du Chapelet de la Miséricorde, spécialement efficace «pour les agonisants».

On le récite sur un chapelet ordinaire, avec cette différence toutefois qu'au lieu de dire les «Pater» et «Ave», on prononce les prières fixées à cette intention.
On peut le dire en dizaines séparées selon que le temps le permet. Il est bon aussi de réfléchir sur les preuves de la Miséricorde contenues dans les différents mystères.
La valeur et l'efficacité du chapelet résident dans les abondants et inépuisables mérites de Nôtre-Seigneur, devant lesquels la Justice du Père — si offensée aujourd'hui — ne peut rester indifférente.
Il est à noter qu'en octobre 1916, l'Ange du Portugal apprit aux futurs voyants de Fatima une prière très analogue à celle que nous laisse Soeur Faustine dans le chapelet.

Les promesses du Bon Sauveur garantissent l'efficacité de ce chapelet:
«Les âmes qui réciteront ce chapelet seront enveloppées de ma Miséricorde pendant leur vie, et d'une manière spéciale à l'heure de la mort!»
«Lorsqu'elles la récitent devant un agonisant, le courroux de Dieu s'apaise, et sa Miséricorde enveloppe l'âme, en considération de la douloureuse Passion du Fils de Dieu.»

           Facultatif: Pater... Ave... Credo...

Sur les gros grains, une fois:

Père Eternel, je Vous offre le Corps et le Sang, l'Ame et la Divinité de Votre Fils Bien-Aimé, Nôtre-Seigneur Jésus-Christ, en réparation de nos péchés et de ceux du monde entier.

Sur les petits grains, dix fois:

Par Sa douloureuse Passion, ayez pitié de nous et du monde entier.

Pour terminer, trois fois:

Dieu Saint, Dieu Fort, Dieu Eternel, ayez pitié de nous et du monde entier!