LA NEUVAINE A LA MISERICORDE DIVINE


«Jésus m'a ordonné d'écrire et de dire cette neuvaine pendant les neuf jours qui précéderont la Fête de la Miséricorde: Elle doit être commencée le Vendredi Saint. Au cours de cette neuvaine, j'accorderai des grâces de tout ordre. Je désire que tu conduises, neuf jours durant, les âmes à la source de ma Miséricorde, pour y puiser force, fraîcheur et toutes les grâces dont elles auront besoin, pour vaincre les lassitudes de la vie, en particulier à l'instant de la mort. Chaque jour, tu amèneras à mon Coeur un groupe différent d'âmes, et tu les immergeras dans l'océan de ma Miséricorde. Quant à moi, je ferai entrer toutes ces âmes dans la demeure de mon Père. Tu rempliras cette mission, ta vie durant, et dans l'éternité. De mon côté, je ne refuserai quoi que ce soit aux âmes que tu amèneras à la source de ma Miséricorde. Chaque jour, par ma douloureuse Passion, tu solliciteras de mon Père des grâces pour ces âmes. »

«Je répondis: Jésus, comment réciter cette neuvaine, quelles âmes amener d'abord à ton Coeur Miséricordieux, entre toutes?»
« — Aux différents jours, je te le ferai savoir, obtenais-je pour réponse. »

Le texte que nous donnons ci-dessous (traduction faite d'après l'original) a été écrit par Soeur Faustine, «sous la dictée du Sauveur Lui-même». Les intentions respectives s'identifient aux prières publiques de l'Eglise qui prie le Vendredi Saint pour tous les hommes : on peut par conséquent, avec la permission de l'évêque, réciter cette neuvaine à l'église, même publiquement.